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 En effet la seconde prof affirmant placer l’élève au centre de son approche semble prendre plaisir. Il suffit de l’entendre raconter ses aventures journalière d’enseignante, rapportant des situations vécues avec ses élèves de façon passionné et passionnante, souvent avec humour, parfois avec dérision… En effet la seconde prof affirmant placer l’élève au centre de son approche semble prendre plaisir. Il suffit de l’entendre raconter ses aventures journalière d’enseignante, rapportant des situations vécues avec ses élèves de façon passionné et passionnante, souvent avec humour, parfois avec dérision…
  
-D’ailleurs, en faisant un lien rapide avec les théories de l’apprentissage, on voit se dessiner ici le contour de deux approches bien différentes : le désir d’absence d’élève pourrait se rapporter à une conception pédagogique classique de cours magistral, tandis que la seconde situation pourrait faire penser aux approches constructivistes et socio-constructivistes. Mais une chose me questionne en parcourant nos cours sur ces courants, en feuilletant les livres de ces spécialistes de théories de l’apprentissage, quel que soit le courant, où parle-t-on du plaisir ? Le plaisir de l’enseignant, dans sa relation aux apprenants, n’serait-ce pas là le point de base de toute théorie éducative ?+D’ailleurs, en faisant un lien rapide avec les théories de l’apprentissage, on voit se dessiner ici le contour de deux approches bien différentes : le désir d’absence d’élève pourrait se rapporter à une conception pédagogique classique de cours magistral, tandis que la seconde situation pourrait faire penser aux approches constructivistes et socio-constructivistes. Mais une chose me questionne en parcourant nos cours sur ces courants, en feuilletant les livres de ces spécialistes de théories de l’apprentissage, quel que soit le courant, où parle-t-on du plaisir ? **Le plaisir de l’enseignant, dans sa relation aux apprenants, ne serait-ce pas là le point de base de toute théorie éducative ? 
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 +**Attention futur prof !!**
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 +Voici un article de Philippe Perrenoud, Professeur Honoraire à la Faculté de psychologie et des sciences de l'éducation de Genève. Article paru dans la revue //Résonances//,n° 6, février 2002.
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 +Ce n'est pas un article scientifique, il s'agit là d'une **adresse à l'attention de futur prof (que nous sommes !) proposant un éclairage sur la réalité, face aux désirs qui nous animent** dans notre intention à exercer ce métier.
 +Et ses conseils et éclairages de se conclure par cet avertissement :"Or, nul ne peut trouver de plaisir dans un métier qui n’a aucun rapport avec ce qu’il avait rêvé".
 +Philippe Perrenoud nous parle ainsi de **PLAISIR d'enseigner** ! et situe cette nécessité dans des enjeux de compétences, de désirs conscients et éclairés, et d'identité assumé.
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 +**A lire et à méditer...**
 +https://www.unige.ch/fapse/SSE/teachers/perrenoud/php_main/php_2002/2002_01.html
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