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esc:apres_vous

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esc:apres_vous [2019/06/15 09:04] mfanienesc:apres_vous [2019/06/15 09:14] mfanien
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 Lors de ma dernière semaine de stage (du 12 au 16 mars 2019), j’ai demandé à ma tutrice si je pouvais animer un atelier. Cependant elle ne savait pas si cela allait être possible car c’était une semaine très chargée en oraux et CCF.  Le jeudi midi ayant fini de faire passer les oraux plus tôt, j’ai pu animer le club théâtre. J’ai donc été prévenue à la dernière minute que j’allais pouvoir animer ce club. Cependant, j’avais tout de même préparé un atelier au cas où ce dernier se déroulerait quand même. Le club théâtre est animé tous les lundis et jeudis midis( 12h30 / 13h20 ) par ma tutrice. Le club théâtre ce déroule toujours en salle ESC, car il y a un asses grand espace au fond de la salle mais surtout car les élèves n’aiment pas être en amphi ou sur la scène, ils se sentent très mal à l’aise.  Lors de ma dernière semaine de stage (du 12 au 16 mars 2019), j’ai demandé à ma tutrice si je pouvais animer un atelier. Cependant elle ne savait pas si cela allait être possible car c’était une semaine très chargée en oraux et CCF.  Le jeudi midi ayant fini de faire passer les oraux plus tôt, j’ai pu animer le club théâtre. J’ai donc été prévenue à la dernière minute que j’allais pouvoir animer ce club. Cependant, j’avais tout de même préparé un atelier au cas où ce dernier se déroulerait quand même. Le club théâtre est animé tous les lundis et jeudis midis( 12h30 / 13h20 ) par ma tutrice. Le club théâtre ce déroule toujours en salle ESC, car il y a un asses grand espace au fond de la salle mais surtout car les élèves n’aiment pas être en amphi ou sur la scène, ils se sentent très mal à l’aise. 
  
- Les élèves participants au club théâtre sont habituellement sept mais n’étaient que six lors de cette séance, ce sont principalement des élèves de BTS  (5) et des élèves de première scientifique (2). Ma tutrice m’avait au préalable expliqué que ces élèves n’étaient pas forcément des passionnés de théâtre, mais qu’ils avaient de grosses difficultés à s’exprimer à l’oral, à prendre la parole à se sociabiliser avec les autres élèves.. Le club théâtre était un levier pour ces élèves, cela leur permettait de palier leurs difficultés.  Lors de ma courte pause déjeuner, d’autres collègues en salle des profs m’ont présenté ce club de manière beaucoup moins bien bienveillante ( ma tutrice était absente) et m’ont expliqué que ces élèves avaient de gros problèmes psychologiques voir ‘sanitaire ‘( « tu verras c’est tous ceux qui puent », « qui n’ont pas d’amis » « c’est pas club théâtre c’est club psycho j’espère que t’as le cœur bien accroché », «  c’est tous les gogols »). Malgré moi, je partais avec certains aprioris et un léger stress après avoir écoutés ces remarques plutôt irrespectueuses. +Les élèves participants au club théâtre sont habituellement sept mais n’étaient que six lors de cette séance, ce sont principalement des élèves de BTS  (5) et des élèves de première scientifique (2). Ma tutrice m’avait au préalable expliqué que ces élèves n’étaient pas forcément des passionnés de théâtre, mais qu’ils avaient de grosses difficultés à s’exprimer à l’oral, à prendre la parole à se sociabiliser avec les autres élèves.. Le club théâtre était un levier pour ces élèves, cela leur permettait de palier leurs difficultés.  Lors de ma courte pause déjeuner, d’autres collègues en salle des profs m’ont présenté ce club de manière beaucoup moins bien bienveillante ( ma tutrice était absente) et m’ont expliqué que ces élèves avaient de gros problèmes psychologiques voir ‘sanitaire ‘( « tu verras c’est tous ceux qui puent », « qui n’ont pas d’amis » « c’est pas club théâtre c’est club psycho j’espère que t’as le cœur bien accroché », «  c’est tous les gogols »). Malgré moi, je partais avec certains aprioris et un léger stress après avoir écoutés ces remarques plutôt irrespectueuses. 
  
- Ma tutrice ayant beaucoup de coups de fil à passer pour des problèmes de projet PEP’S, ne m’a rejointe qu’à 13h00 et c’est seule que j’ai commencé cet atelier. Une fois arrivée dans la salle, je me rends compte que les élèves sont asses surpris, ma tutrice avait oublié de les prévenir que j’allais prendre en charge ce club aujourd’hui. Je me présente donc et explique ma présence au sein du lycée, pourquoi je vais mener l’atelier etc.. L’atmosphère se détend un peu. Je remarque  également que tous les élèves sont déjà là mais qu’une personne manque à l’appel, c’est le seul garçon du groupe, nous décidons de l’attendre 5 minutes.  Il arrive un peu en retard, ouvre la porte et me déclare tout de suite «  j’arrête le club théâtre car je me suis disputé avec les filles, je ne veux plus les voir » puis claque la porte et part, je n’ai pas eu le temps de réagir. Je demande donc aux élèves présentes de m’expliquer la situation, deux filles de sa classe m’explique la dispute qui a eu lieu en cours lors de la réalisation d’affiches pour le PIC, suite à cette dispute l’élève ne souhaitait plus venir à l’atelier car il ne sent pas capable de rester avec des personnes qui l’ont « blessé ». +Ma tutrice ayant beaucoup de coups de fil à passer pour des problèmes de projet PEP’S, ne m’a rejointe qu’à 13h00 et c’est seule que j’ai commencé cet atelier. Une fois arrivée dans la salle, je me rends compte que les élèves sont asses surpris, ma tutrice avait oublié de les prévenir que j’allais prendre en charge ce club aujourd’hui. Je me présente donc et explique ma présence au sein du lycée, pourquoi je vais mener l’atelier etc.. L’atmosphère se détend un peu. Je remarque  également que tous les élèves sont déjà là mais qu’une personne manque à l’appel, c’est le seul garçon du groupe, nous décidons de l’attendre 5 minutes.  Il arrive un peu en retard, ouvre la porte et me déclare tout de suite «  j’arrête le club théâtre car je me suis disputé avec les filles, je ne veux plus les voir » puis claque la porte et part, je n’ai pas eu le temps de réagir. Je demande donc aux élèves présentes de m’expliquer la situation, deux filles de sa classe m’explique la dispute qui a eu lieu en cours lors de la réalisation d’affiches pour le PIC, suite à cette dispute l’élève ne souhaitait plus venir à l’atelier car il ne sent pas capable de rester avec des personnes qui l’ont « blessé ». 
  
- Une fois cet incident terminé, nous nous installons au fond de la salle ESC où se trouve un grand espace vide. Je discute un peu avec les élèves pour savoir où ils en sont, si ils ont l’attention de jouer une pièce à la fin de l’année lors du spectacle où si ils ont déjà commencé des répétitions etc..  Ces derniers m’ont répondu, qu’ils ne souhaitaient pas donner de représentation mais qu’ils venaient au club théâtre pour « décompresser » , « rigoler », et se sentir « plus à l’aise à l’oral pour les examens: PIC, oraux TPE  » ( je connaissais déjà ces informations par ma tutrice mais j’ai voulu m’assurer que les élèves n’avaient pas changés d’avis). Les élèves m’expliquaient alors qu’ils souhaitaient faire des exercices et c’est ce que j’avais préparé donc tant mieux.+Une fois cet incident terminé, nous nous installons au fond de la salle ESC où se trouve un grand espace vide. Je discute un peu avec les élèves pour savoir où ils en sont, si ils ont l’attention de jouer une pièce à la fin de l’année lors du spectacle où si ils ont déjà commencé des répétitions etc..  Ces derniers m’ont répondu, qu’ils ne souhaitaient pas donner de représentation mais qu’ils venaient au club théâtre pour « décompresser » , « rigoler », et se sentir « plus à l’aise à l’oral pour les examens: PIC, oraux TPE  » ( je connaissais déjà ces informations par ma tutrice mais j’ai voulu m’assurer que les élèves n’avaient pas changés d’avis). Les élèves m’expliquaient alors qu’ils souhaitaient faire des exercices et c’est ce que j’avais préparé donc tant mieux.
 Après avoir échangé avec eux dans ce premier temps je me rends compte que ce qui vraiment lacunaire chez eux est la maîtrise du langage ( problèmes d’élocution, de volume, formuler une phrase claire pour exprimer son idée etc..) Je décide alors d’orienter ma séance sur des exercices permettant de travailler l’oral.  Après avoir échangé avec eux dans ce premier temps je me rends compte que ce qui vraiment lacunaire chez eux est la maîtrise du langage ( problèmes d’élocution, de volume, formuler une phrase claire pour exprimer son idée etc..) Je décide alors d’orienter ma séance sur des exercices permettant de travailler l’oral. 
  
-__Descriptions des exercices : +<WRAP center round tip 60%> 
-__+**__Description des exercices :__ 
 +** 
 +</WRAP>
  
-→ Échauffement : Les participants  devaient se déplacer dans l’espace, en ayant conscience de l’espace et du déplacement des autres car ils devaient marcher dans un espace délimité en faisant attention à ce qu’il n’y ai pas de « trous », de « vides»  au sol. Ensuite je rajoutais des variantes au niveau du langage ; par exemple dès que l’on croise quelqu’un on fait un petit cri différents pour chaque personne, puis un mot, puis une phrase, puis une question.  Mais aussi pour le corps, marcher plus vite, courir, marcher au ralenti, faire des pas chassés, marcher en arrière etc. Je voulais que cet échauffement puisse susciter la « décompression » ( comme ils me l’avaient demandé précédemment). = 8/ 10 minutes 
  
-→  Le premier exercice consistait à tourner autour d’un balais ( manche en l’air, poils du balais au sol). Une histoire débutait avec une première personne ( moi «  hier j’étais entrain de faire mes courses au marché, il faisait super beau, j’étais heureuse et tout à coup….. ») qui pendant qu’elle raconte l’histoire tourne autour du balais et le maintien à la verticale. Quand cette personne décide partir elle lâche le balais et l’histoire s’arrête, le but de l’exercice et que le balais de touche jamais le sol et que l’histoire se n’arrête pas. Par conséquent, une des personnes du groupe (ce dernier étant placé en cercle autour du balais ) doit de « désigner » pour reprendre le balais et par conséquent reprendre l’histoire. A travers cet exercice, je souhaitais que les participants se concentrent sur leur discours et se surpassent à « parler » un maximum afin que l’histoire ne s’achève pas. Je souhaitais aussi que ces derniers trouvent une place au sein du groupe et apprennent à aider l’autre si il est en difficulté, à savoir se mettre en retrait quand quelqu’un s’est déjà avancé pour reprendre le balais etc. Cet exercice permettait alors pour moi de développer : son débit et sa capacité de parole, structurer et donner du sens à un discours ( même si il est ici fictif et ludique), se situer au sein d’un groupe (entraide, solidarité, mise en retrait etc), se surpasser ( se dire « bon allez j’y vais pour ne pas que le balais tombe tant pis »). = 10 minutes minutes 
  
-→ Le deuxième exercice, la fausse histoire. J’ai demandé au groupe de se diviser,  de former deux équipes puis j’ai expliqué les règles de l’exercice. Les deux groupes sont dans deux pièces distinctes (un groupe dans le couloirl’autre dans la  classe). Une personne du groupe raconte aux autres de manière la plus précise possible une anecdote qui lui est arrivée, cette personne peut raconter plusieurs fois l’histoire et les autres membres du groupes peuvent poser des questions afin davoir le plus de détails possible. Ensuite tous les membres du groupe doivent sapproprier cette histoire et sentraîner à la « jouer »la raconter  ( l’apprendreretenir les détailsjouer sur l’intonationla gestuelle etc)Une fois cette partie terminée les deux groupes se rejoignent et chaque membre de chaque groupe doit raconter « l’histoire commune » le mieux possible, l’autre groupe doit alors deviner à qui est vraiment arrivée cette anecdote puis inversement avec l’autre groupe. A travers cette exercice je souhaitais que les élèves puissent s’entraîner à : retenir une petite histoire dans un temps limité,  travailler leur intonation leurs attitudes corporelles, prendre la parole seul devant un groupe de personnes pendant un certain temps, avoir confiance aux membres du groupes par le fait de raconter une petite anecdote personnelle aux autres membres. =  15 minutes+**→ Échauffement :** Les participants  devaient se déplacer dans l’espaceen ayant conscience de l’espace et du déplacement des autres car ils devaient marcher dans un espace délimité en faisant attention à ce quil n’y ai pas de « trous », de « vides»  au sol. Ensuite je rajoutais des variantes au niveau du langage ; par exemple dès que lon croise quelquun on fait un petit cri différents pour chaque personne, puis un motpuis une phrase, puis une question.  Mais aussi pour le corpsmarcher plus vitecourirmarcher au ralenti, faire des pas chassés, marcher en arrière etc. Je voulais que cet échauffement puisse susciter la « décompression » ( comme ils me l’avaient demandé précédemment). = 8/ 10 minutes 
 +**
  
-Cet exercice a justement était générateur d’une certaine confiancedune détente puisque qu’une élève du groupe a alors déclaré : « Cest mon anniversairejai ramené des bonbons est ce qu’on peut le fêter pendant le club théâtre je me sens plus à l’aise avec vous les membres du club et moi mêmequ’avec les gens de ma classe »après avoir remarqué que les autres membres du groupe étaient enchantésjai bien évidemment acceptéNous avons alors grignoté et discuté à propos des filles du groupe quel stage allaient-elles fairequest ce qu’elles souhaitaient faire après le BTS ou le bac Squest ce qu’elle allait faire pour son anniversaire etc..) = 10 minutes +→  Le premier exercice** consistait à tourner autour d’un balais ( manche en l’air, poils du balais au sol). Une histoire débutait avec une première personne ( moi «  hier j’étais entrain de faire mes courses au marchéil faisait super beau, jétais heureuse et tout à coup….. ») qui pendant qu’elle raconte l’histoire tourne autour du balais et le maintien à la verticale. Quand cette personne décide partir elle lâche le balais et lhistoire s’arrêtele but de lexercice et que le balais de touche jamais le sol et que l’histoire se n’arrête pas. Par conséquent, une des personnes du groupe (ce dernier étant placé en cercle autour du balais doit de « désigner » pour reprendre le balais et par conséquent reprendre l’histoire. A travers cet exerciceje souhaitais que les participants se concentrent sur leur discours et se surpassent à « parler » un maximum afin que l’histoire ne s’achève pas. Je souhaitais aussi que ces derniers trouvent une place au sein du groupe et apprennent à aider l’autre si il est en difficultéà savoir se mettre en retrait quand quelquun s’est déjà avancé pour reprendre le balais etcCet exercice permettait alors pour moi de développer : son débit et sa capacité de parole, structurer et donner du sens à un discours même si il est ici fictif et ludique)se situer au sein dun groupe (entraidesolidarité, mise en retrait etc), se surpasser ( se dire « bon allez jy vais pour ne pas que le balais tombe tant pis »). = 10 minutes minutes
  
-Suite à ce petit goûter, j’ai senti les participants encore plus à l’aise et j’ai tenté l’exercice du téléachat. Les élèves devaient se mettre par deux, sur une chaise derrière une table et venter ( en duo) les mérites, les bénéfices de tel ou tel produit de manière improvisée.  De plus c’était le public ( les autres membres du groupes) qui devait choisir les articles à présenter. Nous nous sommes alors retrouvées avec objets complètement fou comme un mouchoir, une ampoule, une serviette hygiénique etc.. Les élèves se sont vraiment « lâchés » et malgré le comique de certaine situations, ils prenaient très au sérieux l’exercice et respectaient les consignes. = 10 minutes +**→ Le deuxième exercice**, la fausse histoire. J’ai demandé au groupe de se diviser,  de former deux équipes puis j’ai expliqué les règles de l’exercice. Les deux groupes sont dans deux pièces distinctes (un groupe dans le couloir, l’autre dans la  classe). Une personne du groupe raconte aux autres de manière la plus précise possible une anecdote qui lui est arrivée, cette personne peut raconter plusieurs fois l’histoire et les autres membres du groupes peuvent poser des questions afin d’avoir le plus de détails possible. Ensuite tous les membres du groupe doivent s’approprier cette histoire et s’entraîner à la « jouer », la raconter  ( l’apprendre, retenir les détails, jouer sur l’intonation, la gestuelle etc). Une fois cette partie terminée les deux groupes se rejoignent et chaque membre de chaque groupe doit raconter « l’histoire commune » le mieux possible, l’autre groupe doit alors deviner à qui est vraiment arrivée cette anecdote puis inversement avec l’autre groupe. A travers cette exercice je souhaitais que les élèves puissent s’entraîner à : retenir une petite histoire dans un temps limité,  travailler leur intonation leurs attitudes corporelles, prendre la parole seul devant un groupe de personnes pendant un certain temps, avoir confiance aux membres du groupes par le fait de raconter une petite anecdote personnelle aux autres membres. =  15 minutes 
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 +-> Cet exercice a justement était générateur d’une certaine confiance, d’une détente puisque qu’une élève du groupe a alors déclaré : <wrap hi>« C’est mon anniversaire, j’ai ramené des bonbons est ce qu’on peut le fêter pendant le club théâtre je me sens plus à l’aise avec vous ( les membres du club et moi même) qu’avec les gens de ma classe »</wrap>, après avoir remarqué que les autres membres du groupe étaient enchantés, j’ai bien évidemment accepté. Nous avons alors grignoté et discuté à propos des filles du groupe ( quel stage allaient-elles faire, qu’est ce qu’elles souhaitaient faire après le BTS ou le bac S, qu’est ce qu’elle allait faire pour son anniversaire etc..) = 10 minutes  
 + 
 +-> Suite à ce petit goûter, j’ai senti les participants encore plus à l’aise et j’ai tenté **l’exercice du téléachat**. Les élèves devaient se mettre par deux, sur une chaise derrière une table et venter ( en duo) les mérites, les bénéfices de tel ou tel produit de manière improvisée.  De plus c’était le public ( les autres membres du groupes) qui devait choisir les articles à présenter. Nous nous sommes alors retrouvées avec objets complètement fou comme un mouchoir, une ampoule, une serviette hygiénique etc.. Les élèves se sont vraiment « lâchés » et malgré le comique de certaine situations, ils prenaient très au sérieux l’exercice et respectaient les consignes. = 10 minutes 
  
 Malheureusement,  je n’ai pas fait attention au temps, la sonnerie a retenti, les élèves sont parties rapidement et je n’ai pas vraiment eu le temps de faire un retour sur les exercices avec eux.  Elles avaient l’air cependant assez satisfaites puisque certaines m’ont remercié.  Malheureusement,  je n’ai pas fait attention au temps, la sonnerie a retenti, les élèves sont parties rapidement et je n’ai pas vraiment eu le temps de faire un retour sur les exercices avec eux.  Elles avaient l’air cependant assez satisfaites puisque certaines m’ont remercié.