Différences

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-**Chapitre 1 :**
-Les auteurs évoquent la différence de générations :
-Les jeunes, à partir des années 2000, qui sont nés dans le monde de l'internet
-les autres, qui sont nés avant.
-Cette différence de génération pourrait servir l'idée de ceux qui savent utilisé les techniques de l'information et de la communication, les natifs, pour qui ce langage est "maternelle" et les autres, les migrants, qui doivent apprendre.
-Ces auteurs introduisent l'idée d'un avant et d'un après, et définissent les techniques d'informations et de communications comme une révolution telle l’apparition de l'écriture, ou encore de l'imprimerie. Ces techniques bouscule les modèles, les références. Les questionnements n'excluent pas le modèle sociale, qu'est ce qui fait société, qu'est ce qui doit être transmis.
-A l'heure où l'évolution du numérique réinterroge la place du Savoir, comment inventer réinventer le rôel d'éducateur, d'enseignant ? quel est l'impact sur le rapport au savoir, au apprenants ? au contrat didactique ?
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-**chapitre 2 :**
-Les auteurs de ce chapitre reviennent sur les différents interfaces qui ont accueilli notre identité numérique, du blog au réseaux sociales, avec aujourd'hui une interaction,plus forte de l'autre. Mais aujourd'hui l'autre n'est pas que la familles, les amis, c'est également les algorithmes qui ont également un effet sur notre identité. Les auteurs concluent sur l'importance de recréer "du sujet" dans identités numériques,
-Il y a ici des liens fort à faire avec le domaine de la communication. Aujourd'hui, tous les jeunes où presque sont utilisateurs d'un réseau social sur lequel il donne à voir. Quelle utilisation ? pour qui ? pourquoi ?S'interroger sur sa pratique peut contribuer à y donner du sens.
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-Chapitre 3 :
-Les auteurs apportent des connaissances sur la psychologie de développement de la petite enfance à l’adolescence. Ils font le lien entre les capacité et besoins à chaque stade de développement et l'utilisation des TIC. Les propos peuvent éclairer parents et professionnels de l'enfance.
-En ce qui concerne l'adolescance, ils expliquent pourquoi les TIC, plus qu'un effet de mode, répond véritablement aux besoins de cette tranche d'âge. On peut retenir :
--s’approprier de nouveaux territoires
-- par la musique, s'identifier, ressentir, se distinguer.
-"Comme nous l’avons suggéré plus haut, la vitesse des apprentissages
-et de l’acculturation, en termes d’usages et de repères éducatifs, est plus
-lente que la vitesse des évolutions techniques. Le décalage chronique
-entre ces deux dimensions est un défi majeur pour les parents, les enseignants et les éducateurs en général. Il oblige à penser des savoir-faire
-et des savoir-être durables, adaptés à cette nouvelle donne.
-"À l’instar de Serge Tisseron
-(2013), qui évoque la « culture du livre » et la « culture des écrans »
-pour nommer les deux logiques à l’œuvre, nous pensons qu’il est plus
-utile d’intégrer le meilleur de l’une et de l’autre plutôt que de les opposer. Ce travail d’hybridation est complexe, mais porteur de perspectives passionnantes."
-"t. À l’instar
-de Socrat :e, Platon et d’autres penseurs illustres, ils voient dans les nouveaux supports de communication une source d’abêtissement pour les
-nouvelles générations. Or, ce n’est pas uniquement d’un changement
-de notre rapport à l’écrit dont il est question, mais bien plus profondément d’une évolution culturelle globale qui redéfinit, notamment, les
-marqueurs de légitimation des « gardiens du temple ».